boucles d'oreilles pour femme - un bijou de choix pour la beauté d'une féminine

« J’aime toujours voir les femmes porter des boucles d’oreilles. Elles apportent une jolie touche finale », confiait Christian Dior (1905-1957), fondateur du groupe éponyme, dans son Petit Dictionnaire de la Mode.

Le grand couturier français soulignait ainsi un constat millénaire, à savoir que ces accessoires subliment la beauté féminine depuis les temps anciens, ou plus précisément depuis le Néolithique. Toutefois, grâce à l’évolution des techniques de fabrication et à l’utilisation de nouveaux matériaux, ils sont aujourd’hui variés. Il existe notamment des créoles, des perles, des puces, des clips, des earcuffs et des manchettes. Ces agrafes peuvent être en or, en argent, en zircon ou encore en acier inoxydable.

Des bijoux venus du Néolithique

Traditionnellement posée au niveau du lobe, la boucle d’oreille est un bijou ornant le pavillon de l’oreille, un organe trop souvent caché par les cheveux. Considéré comme typiquement féminin, il est l’un des rares accessoires à se porter par paire et nécessite de se faire percer les oreilles. Toutefois, il existe aujourd’hui des modèles qui ne demandent pas de trous car se posant simplement sur le cartilage. Par ailleurs, certains hommes usent aujourd’hui d’une seule pièce à une oreille. Du Néolithique à nos jours, ces accroche-cœurs ont été portées à la plupart des époques et dans pratiquement toutes les sociétés. Les plus anciennes boucles d’oreille connues à ce jour datent d’environ 8000 ans avant notre ère. Elles ont été découvertes en Mongolie, sur le site de Chifeng. Elles étaient en pierre de jade, puis en or.

La reine Victoria promotrice des pendantes

Les femmes romaines en raffolaient aussi avant qu’elles ne disparaissent des usages à la chute de l’empire romain (vers 476 avant J.C.). Plus généralement, en Occident, elles pâtissent de l’opinion négative du perçage d’oreilles, assimilé aux prostituées. Mais, ces parures feront leur retour à la Renaissance avant de prendre leur véritable essor au XIXe siècle, sous Napoléon 1er. Elles sont généralement démonstratives, en or et bon marché. La reine Victoria contribue ensuite à leur promotion, surtout les pendants volumineux.

Divers fermoirs et styles d’anneaux

Au XXe siècle, l’idéal et l’émancipation féminins provoque une explosion des métaux et pierres utilisés. En plus de l’or dans les bouclettes, on retrouve du platine, du cristal, du diamant, du rubis, des perles, et surtout de l’argent. Cette matière a la faveur des bijoutiers parce qu’elle a une teinte neutre qui permet des associations avec d’autres métaux. L’argent est également connu pour son coût bas, et donc pour son accessibilité. Au niveau, on retrouve aussi une diversité : puces ou clous, anneaux, crochets, dormeuses, pendantes, grimpantes, les créoles, etc. Ces modèles sont munis de différents fermoirs, c’est-à-dire de dispositifs pour maintenir la boucle plaquée sur l’oreille. Citons les poussettes, le système Alpa, la brisure, les clips, les aimants, etc.

Des petites et des grandes

Les boucles d’oreilles pour femmes sont de toutes les tailles et formes. Les plus épaisses plaisent énormément car très visibles. Elles conviennent particulièrement aux personnes à la chevelure abondante. Celles-ci gagneraient à se tourner vers les modèles de 90 mm ou 80 mm et au minimum de 70mm. Ces tailles sont idéales si l’on veut ne pas voir ses agrafes disparaître dans une touffe de cheveux. Si ces grandes boucles sont tentantes, on pourra néanmoins mettre en valeur ses oreilles avec de plus petites pendeloques, comme celles de 60mm ou 50mm. Attention toutefois au poids des modèles émaillés (grosses et petites mailles).

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Des boucles en plaqué or à bas prix

En argent ou plaqué or, ces boucles d’oreilles sont tendance de nos jours. Tout le monde peut s’en procurer à petits, particulièrement sur les boutiques en ligne. Les boucles en plaqué or (alliage de zinc et de cuivre) notamment sont douze fois moins chères que celles en or véritable. Les clientes se tournent généralement vers les bijoux à 18 carats (75% d’or pur et 12,5% de cuivre), le titrage le plus universel, ainsi que le plus connu et le plus répandu dans le monde. On peut aussi se tourner vers les 16 carats (66,7% d’or pur et 33,3 de cuivre). C’est un bon compromis en termes de qualité et prix. Lire du même sujet des boucles d’oreilles sur BijouxMarket

Un point sur les indémodables créoles

Comme la tendance est aujourd’hui à l’exotisme, de nombreuses femmes se ruent vers l’achat de boucles d’oreilles créoles. Ces circulaires de type fantaisie sont très originales. Plus ou moins larges, elles offrent diverses dimensions de formes, lisses ou torsadées notamment. On en trouve aussi dans des matériaux différents, des pierres précieuses comme des métaux nobles. Ces créoles sont intemporelles car elles ont traversé les siècles sans jamais devenir désuètes. Depuis la Mésopotamie, elles sont appréciées des femmes pour leur faciliter à accompagner tous leurs looks.

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